Chers Amis,Alors que les Cerisiers en fleurs vibrent sous la conduite de Damien Hirst à la Fondation Cartier, et que s'expose la folle passion pour l'Art des Morozov à la Fondation Louis Vuitton; les grands salons reprennent de plus belle en présentiel dans la capitale : après Art Paris, la Fiac et leur plein de talents. Les musées ont de moins en moins de scrupules à oser de nouvelles juxtapositions esthétiques. Au Petit Palais, Ilya Répine peintre de "l'âme russe" (1844 - 1930) fait carton plein aux côtés des couronnes d'Or et des briques aux reflets incandescents des installations de Jean-Michel Othoniel, pour nous plonger chacun dans leurs univers de légende. Il n'y a pas si longtemps, l'Arc de Triomphe sensuellement enveloppé dans son déshabillé argent par Christo, a ouvert un chemin effervescent qui nous conduit cet automne à une tour de Babel de l'Art, où une infinité de dialogues et d'expressions sensorielles nous font revivre un véritable printemps!Une rentrée qui libère sans attendre les langages et les gestes artistiques comme trop longtemps retenus aux regards du public durant les confinements. Les artistes et acteurs du monde de l'art n'en finissent pas de vouloir dérouler les fils d'Ariane, de la bobine du passé et de nos héritages pour conduire à de nouvelles interprétations et configurations.Et si depuis Paris, Bâle, Bruxelles, Luxembourg, Madrid entre autres ... l'Entreprise allait librement vagabonder à travers les champs de l'Art pour y trouver de nouvelles pistes pour fertiliser son génie ?La transition culturelle c'est maintenant !Tania ZANACEO founder
